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Jeude sociĂ©tĂ© : Petits meurtres et faits divers au tribunal - Au travers d'interrogatoires tenter de dĂ©masquer le coupable dans une affaire bien mystĂ©rieuse. Connexion .Vollansicht Petits meurtres et faits divers au tribunal Weiterlesen Artikel-Nr. RDJ-5450 Sammeln Sie mit dem Kauf dieses Artikels bis zu 2 Treuepunkte. Ihr Warenkorb hat insgesamt 2 Punkte die umgewandelt werden können in einen Gutschein im Wert von 1,00 âŹ. 30 other products in the same category Reviews 0 ProduktinfosBienvenue dans le tribunal le plus dĂ©mentiel de notre cher pays ! Soyez un procureur impitoyable et alignez les arguments les plus monstrueux pour convaincre les jurĂ©s que François Leboulet doit ĂȘtre lourdement condamnĂ© ! Soyez cet avocat combatif qui, par des affirmations hallucinĂ©es mais courageuses, dĂ©fendra François Leboulet contre ce ringard de procureur. Bon courage aux jurĂ©s pour dĂ©terminer qui, du procureur ou de l'avocat, aura le mieux utilisĂ© les arguments improbables fournis par le jeu. - La suite de Petits meurtres et faits divers. - Un jeu de communication qui gĂ©nĂšre une ambiance exceptionnelle ! - Des affaires loufoques et pleines de fantaisie 239 affaires gros dĂ©lire au tribunal Technische DatenLangue FrançaisMĂ©canisme CreativitĂ©, Objectif secretThĂšme Enquete & policierCritĂšres gĂ©nĂ©raux _IdĂ©e cadeauNombre de joueurs 4-7Temps de jeux 45age mini 14age maxi 99
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l'essentiel Le chef de la diplomatie russe SergueĂŻ Lavrov a appelĂ© mardi 23 aoĂ»t Ă n'avoir "aucune pitiĂ©" pour les meurtriers Daria Douguine. Elle Ă©tait la fille d'un idĂ©ologue impĂ©rialiste pro-Kremlin. Ses funĂ©railles ont rĂ©uni des centaines de personnes. Daria Douguine, journaliste et politologue, a Ă©tĂ© tuĂ©e samedi soir dans l'explosion du vĂ©hicule qu'elle conduisait sur une route prĂšs de Moscou. Elle avait 29 ans. Elle Ă©tait la fille d'Alexandre Douguine, 60 ans, un philosophe et Ă©crivain ultranationaliste promouvant une doctrine impĂ©rialiste. Comme son pĂšre, elle soutenait farouchement l'offensive russe en Ukraine. "C'Ă©tait un crime barbare pour lequel il ne saurait y avoir de pardon [...]. Il ne peut y avoir aucune pitiĂ© pour les organisateurs, les commanditaires et les exĂ©cutants", a rĂ©agi mardi le ministre russe des Affaires Ă©trangĂšres, SergueĂŻ Lavrov. Un enterrement en grande pompe Des centaines de personnes, notamment des proches de la famille et des responsables politiques, se sont recueillies mardi Ă Moscou devant le cercueil de Daria Douguine, au-dessus duquel avait Ă©tĂ© accrochĂ© un portrait d'elle souriant, a constatĂ© l'AFP. "Elle est morte au front pour la nation, pour la Russie. Le front, il est ici", a dĂ©clarĂ© Alexandre Douguine, d'une voix tremblante, les yeux cernĂ©s, prĂ©sent avec son Ă©pouse et la mĂšre de Daria Douguine, Natalia Melentieva. Un conflit qui marque aussi la Russie Ce meurtre a créé un choc en Russie et mis Ă mal les efforts des autoritĂ©s qui cherchent Ă convaincre que l'offensive en Ukraine, lancĂ©e il y a six mois, n'a aucune consĂ©quence nĂ©gative pour la population russe. Or, le conflit est devenu de plus en plus visible ces derniĂšres semaines, avec notamment une sĂ©rie d'explosions en CrimĂ©e, pĂ©ninsule ukrainienne annexĂ©e par Moscou oĂč de nombreux Russes passent traditionnellement leurs vacances. Moins de 48 heures aprĂšs la mort de Daria Douguine, les services de sĂ©curitĂ© russes FSB ont affirmĂ© lundi avoir conclu que l'attaque avait Ă©tĂ© prĂ©parĂ©e et menĂ©e par une femme travaillant pour les services secrets ukrainiens. Kiev a dĂ©menti toute implication. Dans un message de condolĂ©ances, le prĂ©sident russe Vladimir Poutine a dĂ©noncĂ© un "crime ignoble, cruel", qui a "mis fin prĂ©maturĂ©ment Ă la vie de Daria Douguina, une personne brillante et talentueuse dotĂ©e d'un cĆur vĂ©ritablement russe". Vladimir Poutine lui a Ă©galement remis Ă titre posthume l'Ordre du Courage, une importante dĂ©coration.Parfois provoquĂ©es par des banalitĂ©s, les tensions entre jeunes qui dĂ©gĂ©nĂšrent en fusillades font les manchettes. Mais ces jeunes, souvent mineurs, sont avant tout des humains qui ont encore une chance de se rĂ©habiliter. La Presse a eu accĂšs au centre jeunesse de Laval pour observer le travail des intervenants sur le terrain. On a encore beaucoup dâespoir de les rĂ©habiliter » Depuis trois ans, avec la prolifĂ©ration des armes Ă feu, le paysage de la dĂ©linquance juvĂ©nile a changĂ© pour les intervenants, Ă©ducateurs et dĂ©lĂ©guĂ©s jeunesse. Les adolescents judiciarisĂ©s sont de plus en plus impulsifs et les armes, plus accessibles. Mais lâobjectif demeure le mĂȘme rĂ©habiliter le jeune. 9 h 30. Au centre jeunesse de Laval, quelques jeunes en unitĂ© fermĂ©e dĂ©ambulent dans le couloir, flottant dans leur short de basket. Un bureau dâĂ©ducateur â avec vue imprenable sur toute la piĂšce â surplombe une salle commune oĂč sont rĂ©partis des meubles vissĂ©s au sol. Lâendroit accueille des dĂ©linquants juvĂ©niles accusĂ©s de divers mĂ©faits du vol de gomme Ă mĂącher chez Walmart Ă la possession dâarme Ă feu. Mais la garde â en unitĂ© fermĂ©e ou ouverte â est une peine rĂ©servĂ©e aux crimes graves, nĂ©cessitant un effort soutenu de rĂ©habilitation. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Cour du centre jeunesse Laval Comme en prison, les rivaux sont sĂ©parĂ©s. Mais on Ă©loigne aussi les copains on ne veut pas mettre des complices ensemble. Ils ont lâair courageux avec leur gang, mais pour aller porter un CV, lĂ ils sont moins confiants », commente la cheffe du programme de rĂ©habilitation des jeunes contrevenants. La population est troublĂ©e en voyant dans les journaux la photo dâune jeune victime innocente tombĂ©e sous les balles, poursuit-elle. Les intervenants, eux, ont un double choc. Ils voient le visage du jeune tireur. Câest quelque chose quand tu vois le petit jeune qui a tirĂ© avec sa petite face de chĂ©rubin. Des fois, ils viennent et ils nâont mĂȘme pas encore de moustache molle. La cheffe du programme de rĂ©habilitation des jeunes contrevenants Armes et rĂ©seaux sociaux Depuis deux ans, lâĂ©quipe chargĂ©e de faire des suivis de probation et dâĂ©valuer le degrĂ© de dangerositĂ© des jeunes et leurs besoins font face Ă une nouvelle rĂ©alitĂ© la possession dâarmes Ă feu chez les mineurs. Il sâagit des mĂȘmes conflits. Câest la mĂȘme pensĂ©e violente. Mais avec diffĂ©rents outils. Notre mĂ©thode est la mĂȘme on va dĂ©construire leur façon dâutiliser la violence comme un outil pour se remonter ou rĂ©gler les problĂšmes », nous explique un Ă©ducateur. Câest vraiment une minoritĂ© des jeunes quâon a qui ont commis des crimes comme ça. Mais ça, câest ceux quâon pogne. Certains passent sous le radar », dit la responsable. Reste quâune partie du travail de terrain a changĂ© pour ce groupe dâintervenantes aguerries, notamment dans leurs suivis de jeunes en garde ouverte. Jâai des jeunes que je ne peux pas rencontrer seule dans ma voiture. Ni chez eux. Et pas dans nâimporte quel quartier. Parce quâon sait quâils peuvent se faire tirer dessus. Je dois mâassurer quâon ne croisera pas des ennemis. Ils ne vont pas juste se taper dessus⊠» Dans la derniĂšre annĂ©e, jâen ai eu comme quatre avec qui je ne quitterais jamais le centre. Ils sont trop des targets et câest trop risquĂ© dâĂȘtre avec eux en public. » PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE AccĂšs extĂ©rieur au centre jeunesse de Laval Certains jeunes sortent mĂȘme de lâĂ©tablissement la peur au ventre ils craignent de prendre lâautobus et de croiser la mauvaise personne. Câest nouveau depuis un an et demi, cette rĂ©alitĂ©-lĂ . » Les rĂ©seaux sociaux ont Ă©galement changĂ© la donne. Ăa ne reste plus juste Ă lâĂ©cole et au parc. Si tu te fais humilier, câest affichĂ© sur Snapchat. Mais tes âvictoiresâ aussi sont filmĂ©es lĂ -dessus, pour gagner en crĂ©dibilitĂ©. Câest devenu un monde oĂč on sâexpose de plus en plus. Une jeune dĂ©lĂ©guĂ©e jeunesse Traumatismes Les intervenants et dĂ©lĂ©guĂ©s jeunesse se rĂ©unissent chaque mardi pour parler dâun cas prĂ©cis. On travaille avec des jeunes humains. LâĂ©valuation de la peine selon la Loi sur le systĂšme de justice pĂ©nale pour les adolescents, ce nâest pas une aspirine pour tout le monde. On a encore beaucoup dâespoir de les rĂ©habiliter, donc on est moins dans lâaspect punitif que pour les adultes. » Ils sont des contrevenants et leur mode de vie les expose Ă la violence. Mais ils ont aussi des traumatismes. Voir son ami se faire poignarder ou poignarder quelquâun les deux sont des traumatismes. Il faut travailler avec ça. » PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Cour du centre jeunesse de Laval Le groupe dâintervenantes nâest pas dupe certains jeunes ne vont pas se dĂ©faire de leurs mauvaises habitudes. Mais au centre jeunesse, on se souvient toujours dâeux comme de petits gars ». Il y en a, rendus adultes, qui nous appellent de la prison. On est leur seul appel, car personne ne les prend vraiment en charge. Une intervenante Cette approche humaine axĂ©e sur la rĂ©habilitation fait que parfois, sur le territoire lavallois, les intervenants du centre jeunesse en savent plus sur les conflits en cours que la police locale. Ils nous parlent. Ils se confient Ă nous. » Ils vont identifier de quelle façon la criminalitĂ© rĂ©pond Ă leurs besoins argent, estime de soi, libertĂ©, sentiment dâappartenance, compĂ©tences. On va lui exposer dâautres moyens. On prĂ©sente les avantages Ă utiliser ces moyens. Car il y a des dĂ©savantages Ă choisir le crime. » MĂȘme quand lâado demeure turbulent, il est rare que lâĂ©quipe nâarrive pas Ă percer sa carapace, explique la cheffe dâĂ©quipe. Ă chaque petite amĂ©lioration, on les fĂ©licite. Et on se rend compte que personne nâa jamais fait ça pour eux. Une dĂ©lĂ©guĂ©e jeunesse La population, souvent, est dans le jugement, renchĂ©rit-elle. On a le âgang de rueâ facile par les temps qui courent. Mais tout le monde avec une sacoche et un chandail bleu nâest pas dans un gang. » PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Grille de sĂ©curitĂ© devant le centre jeunesse de Laval Lui, il est tough » Les bras croisĂ©s, Nabil*, 18 ans, Ă©coute attentivement Sandra Beaudin, sa dĂ©lĂ©guĂ©e jeunesse, lui rĂ©citer le dĂ©tail de ses altercations dâun ton posĂ©. Le dĂ©linquant violent est tout le contraire des stĂ©rĂ©otypes associĂ©s aux jeunes criminels accusĂ©s de dĂ©lits graves. Il sâexprime bien, est extrĂȘmement poli, il Ă©tudie et travaille. Parfois, un discret sourire rĂ©vĂšle ses fossettes. Les blagues et les tournures de phrase ironiques de la dĂ©lĂ©guĂ©e, ni moralisatrice ni complaisante, font sourire Nabil, qui est suivi en garde ouverte. Et lâamĂšnent Ă se confier plus quâil ne lâa fait avec les policiers. Sa vie dâadolescent a Ă©tĂ© ponctuĂ©e de disputes. Elles ont culminĂ© par un Ă©pisode de violence lâĂ©tĂ© dernier. Il est maintenant accusĂ© de vol qualifiĂ©, de port dâarme dans un dessein dangereux et de voies de fait avec lĂ©sions. Le gars qui a portĂ© plainte se foutait de ma gueule sur Instagram avant que ça arrive. Il me dit âViens plus [dans mon coin], si tu viens, on va te battre.â » Le jour dâaprĂšs, il va au parc. On lui montre du doigt le garçon qui lâa provoquĂ© » dans ses messages. Il riait dans ma face. Il mâa manquĂ© de respect. » Il le prend par le cou, le jette par terre, le frappe Ă de multiples reprises au visage, raconte-t-il. Il sâest levĂ© et il ne ressemblait plus Ă la mĂȘme chose », dĂ©crit-il sans gĂȘne. Il approche un couteau de cuisine de la gorge de sa victime, avant de sâemparer de son sac et de son tĂ©lĂ©phone pour le ridiculiser », raconte-t-il Ă Mme Beaudin. Quand on lui parle de sa victime, son attitude est dĂ©concertante. Je veux mĂȘme pas le voir. Il me dĂ©goĂ»te, ce gars-lĂ . Je dĂ©teste ce gars. Je le connais pas, mais je le dĂ©teste. Nabil Ă une autre occasion, il bat violemment un de ses anciens amis jusquâĂ ce que son dos soit noirci par les ecchymoses. Le jeune a beau ĂȘtre inconscient, Nabil continue de frapper. Un enseignant assiste Ă cette scĂšne sanglante survenue prĂšs dâune Ă©cole. Nabil sort alors un couteau de cuisine de son sac. Il le pointe vers lâenseignant. En revenant sur les faits, il affirme que lâadulte se serait montrĂ© menaçant envers lui. Je ne souhaite pas sa rĂ©ussite dans la vie », dit-il en se rongeant les ongles. Ni remords ni compassion Nabil sâest montrĂ© transparent. Il confie Ă Mme Beaudin des dĂ©tails sur des dĂ©lits pour lesquels il nâa jamais Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©. Il se balade souvent avec un couteau au cas oĂč des gens le provoqueraient, admet-il. Un an aprĂšs ses crimes, il nâa jamais rĂ©cidivĂ©. Mais il Ă©prouve peu de compassion envers ses victimes. Un simple nique ta mĂšre » suffit pour allumer la flamme de ce jeune qui prĂ©sente pourtant de belles habiletĂ©s, soutient Sandra Beaudin. Il vient dâune bonne famille. Ses parents lui ont transmis de belles valeurs. Souvent, il y a ce prĂ©jugĂ© que les jeunes viennent de mauvaises familles nĂ©gligentes, mais je me retrouve souvent devant des parents qui ont donnĂ© le meilleur pour leur enfant. Sandra Beaudin, dĂ©lĂ©guĂ©e jeunesse Des rĂ©seaux sociaux au parc Tout au long de leur discussion, Sandra Beaudin prend les notes qui garniront le rapport prĂ©dĂ©cisionnel requis par la juge. Je ne vais pas te mentir, Nabil, je vais recommander une garde fermĂ©e de six mois. » LâaccessibilitĂ© aux armes Ă feu a changĂ© la donne. Nabil nâen possĂšde pas, mais sa maniĂšre de gĂ©rer sa colĂšre inquiĂšte. Il nâa pas de pistolet, mais il connaĂźt quelquâun qui connaĂźt quelquâun⊠Il pourrait sâen procurer un. Il nâest vraiment pas dans un gang, mais il sait qui ils sont et ils savent qui il est. » Sarah Beaudin soupire. Câest un garçon qui sâexprime trĂšs bien. Mais lui, il est tough. » PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Un accĂšs au centre jeunesse de Laval Au tribunal Nabil, je ne sais pas pourquoi tu as cette colĂšre en toi », tonne la juge. Nous sommes lundi matin. Le jeune homme reçoit sa peine. Quand il nâa pas les bras croisĂ©s, il joue avec lâourlet de son t-shirt en tapant du pied, vĂȘtu de rouge de la tĂȘte aux pieds. La suggestion de garde fermĂ©e â la peine la plus sĂ©vĂšre â ne passe pas auprĂšs de la dĂ©fense malgrĂ© la violence des dĂ©lits et lâabsence de remords. On estime que Nabil est restĂ© calme depuis un an, et la garde fermĂ©e lâempĂȘcherait de garder son emploi. Avec la Couronne, on veut prĂ©senter une suggestion commune garde ouverte de six mois. Pourquoi ne pas avoir poussĂ© pour la garde fermĂ©e ? Je prĂ©fĂšre avoir un Nabil ouvert Ă travailler sur lui-mĂȘme et coopĂ©ratif, plutĂŽt quâun jeune qui va rentrer Ă reculons. » La juge sourcille quand le jeune homme se prĂ©sente devant elle, les mains dans les poches. La suggestion commune est une garde ouverte, mais moi, Ă la lecture du rapport, je tâaurais mis en garde fermĂ©e, et pour beaucoup plus longtemps que six mois. » Nabil avait 17 ans au moment des dĂ©lits dont il est accusĂ©. Il est dĂ©sormais majeur, lui rappelle la juge. JâespĂšre ne pas te revoir aux adultes. » Le rĂŽle des dĂ©lĂ©guĂ©s jeunesse Les dĂ©lĂ©guĂ©s jeunesse font un portrait du dĂ©linquant, Ă©tablissent ses besoins, dĂ©terminent quelle est sa place dans a collectivitĂ© avant un jugement. Ils proposent une peine au juge, qui nâest toutefois pas obligĂ© dâen tenir compte. PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE Couloir du centre jeunesse de Laval La rĂ©demption dâEmmanuel Rares sont les criminels endurcis qui se sont complĂštement dĂ©tachĂ©s du monde interlope. Câest pourtant le cas dâEmmanuel*, qui est passĂ© des violents conflits entre gangs au centre jeunesse. Emmanuel se rappellera toujours son premier pas vers la rĂ©demption. CâĂ©tait au tribunal de la Chambre de la jeunesse. La mĂšre de sa victime venait tĂ©moigner. On a quittĂ© notre pays Ă cause de la guerre. Mais maintenant, mon fils est dans une autre guerre, qui risque de lâachever. » La propre mĂšre dâEmmanuel, prĂ©sente dans la salle dâaudience, a poussĂ© un gĂ©missement. Dans le box des accusĂ©s, il a frissonnĂ©. Je savais quâelle se disait que ça aurait pu ĂȘtre moi, la victime. Câest passĂ© proche plusieurs fois. » Câest la premiĂšre fois que le jeune membre de gang de rue, alors mineur et accusĂ© dâun crime grave, ressent de lâempathie pour une de ses victimes. Je me suis questionnĂ© sur mes choix. » Tu te crois intouchable » ArrivĂ© dâAfrique Ă MontrĂ©al au dĂ©but de son enfance, Emmanuel a Ă©tĂ© Ă©levĂ© par une mĂšre seule. Je suis devenu vite lâhomme de la famille, je ne voulais pas ĂȘtre un fardeau pour elle. » Ă 12 ans, les missions » commencent crever un pneu, agresser une dame, voler un inconnu, une fraude, puis une autre⊠Il gagne en crĂ©dibilitĂ© et en confiance en lui. Il empoche 100 $, puis 300 $, puis 1000 $. Comme il ne se fait jamais arrĂȘter, il dĂ©veloppe un profond sentiment dâimpunitĂ© qui lâincite Ă faire des coups toujours plus gros. Tu te crois intouchable jusquâĂ ce que tu te fasses arrĂȘter. » Les valeurs, câest devenu âtout pour lâargentâ. Je faisais ça pour ma mĂšre, mais ce nâĂ©taient pas les valeurs quâelle mâavait enseignĂ©es. On lui montrait des photos de moi avec des armes Ă feu, elle nây croyait pas. Emmanuel Il se fait vite approcher par des vĂ©tĂ©rans, croise la route de motards. Tu te mets en danger et ta famille aussi. Mais tu ne vois pas ça quand tu es dedans. Câest tout pour lâargent. » Ă lâuniversitĂ© AprĂšs son passage au tribunal de la Chambre de la jeunesse il y a quelques annĂ©es, Emmanuel a Ă©copĂ© dâune longue peine. Quelques mois en dĂ©tention nâauraient pas suffi Ă sa rĂ©habilitation, plaide-t-il aujourdâhui. Il termine sa scolaritĂ© au centre jeunesse. Il obtient dâexcellentes notes et persĂ©vĂšre grĂące Ă des bourses offertes notamment par la Fondation des jeunes contrevenants. MĂȘme aprĂšs [ma sortie], je continuais Ă appeler les intervenants. Le rĂ©seautage positif que je me suis forgĂ© avant de sortir a fait toute la diffĂ©rence. » Emmanuel entame maintenant un programme universitaire et prĂ©voit acheter une propriĂ©tĂ©. Je crois Ă des peines plus longues pour se rĂ©habiliter et travailler sur sa façon de penser. Les gars sâen foutent, de la prison pour un an. MĂȘme adulte, Ă Bordeaux et Ă [RiviĂšre-des-Prairies]. La seule chose qui leur fait peur, câest le pĂ©nitencier. Emmanuel Une coche au-dessus » Aujourdâhui, je les trouve plus fous que quand moi jâĂ©tais lĂ -dedans », lance Emmanuel. Les jeunes criminels de la nouvelle gĂ©nĂ©ration » ne semblent pas se soucier dâĂȘtre des cibles, de sâexposer, de mettre leur famille en danger, poursuit-il. Pourtant, son passĂ© trouble est relativement rĂ©cent. Je connais des gars qui sont au pĂ©nitencier Ă vie pour un simple âfils de puteâ, jâai vu des gars mourir pour des choses banales. » Mais aller tirer sur un innocent, le scoring sur les rĂ©seaux sociaux, câest une coche au-dessus » de ce quâil a connu. Oublie ça. Je trouve ça dĂ©gueulasse. Je me dis âCâest rendu lĂ ? Des pointages sur les rĂ©seaux sociaux ?â Emmanuel Ă son Ă©poque, pas si lointaine, il y avait une structure. Aujourdâhui, il y a moins de raisons de sâassocier Ă un plus vieux qui a la tĂȘte froide. Il y avait une crainte des plus vieux. Aujourdâhui, le respect sâest perdu, car tout le monde sait comment faire beaucoup dâargent maintenant. » CâĂ©tait dĂ©jĂ prĂ©sent Ă son Ă©poque, Ă©voque-t-il. Quand on voyait un article dans le journal qui parlait de coups de feu, on se le disait entre nous tu as fait âun coup de journalâ. » AcquĂ©rir sa premiĂšre arme Ă feu Ă©tait complexe. Il a dĂ» avoir des contacts. Maintenant, ça me sidĂšre comment tout le monde peut sâen procurer. » Emmanuel insiste pour des histoires qui finissent bien, il faut que la sociĂ©tĂ© puisse accepter des gens qui ont fait de mauvais choix dans le passĂ©. Durant la pandĂ©mie, il a posĂ© sa candidature Ă un poste dâagent de sĂ©curitĂ©. Vu ses antĂ©cĂ©dents criminels datant de lâĂ©poque oĂč il Ă©tait mineur, lâentreprise nâa pas voulu lâembaucher. Jâai fini par lâavoir. Mais il mâa fallu un avocat et plusieurs appels. Ăa a pris cinq mois. Un jeune qui veut retourner dans le crime va le faire. » * PrĂ©nom fictif Les intervenants qui interagissent au quotidien avec les jeunes ont requis lâanonymat pour ne pas rompre le lien de confiance.
l'essentiel La rĂ©gie de quartier auscitaine a dĂ©cidĂ© de se pourvoir en cassation suite au rejet de son recours au tribunal administratif de Pau. Elle sera soutenue dans sa dĂ©marche par le Mouvement des RĂ©gies, Ă la tĂȘte du rĂ©seau national des rĂ©gies de quartiers et territoires. C'est une dĂ©cision Ă laquelle elle s'attendait. AprĂšs avoir saisi en rĂ©fĂ©rĂ© le tribunal administratif de Pau, en "lui demandant dâannuler la dĂ©cision de rejet de lâoffre de Garros Services par lâOPH 32 et de reprendre la procĂ©dure au stade de lâanalyse des candidatures et des offres", la direction de Garros Services, rĂ©gie de quartier auscitaine, ne se faisait pas vraiment d'illusions. A lire aussi Auch Garros Services en danger aprĂšs la perte d'un contrat avec l'Office public de l'habitat du Gers Dans une ordonnance du 13 aoĂ»t dernier, le tribunal de Pau a indiquĂ© ne pas donner suite Ă cette requĂȘte. "Juridiquement, il Ă©tait possible de dĂ©poser un rĂ©fĂ©rĂ©. On l'a fait. Ăa avait pour objectif de retarder la signature du marchĂ© avec l'entreprise attributaire NDLR une sociĂ©tĂ© privĂ©e toulousaine. Il n'y avait pas d'autre objectif que celui-ci. La notification du marchĂ© n'Ă©tait pas particuliĂšrement Ă remettre en cause juridiquement. Le juge s'est prononcĂ©. Ce qui est regrettable, c'est tout ce qui s'est passĂ© avant la notification du marchĂ©", indique la directrice de la rĂ©gie, Isabelle Labart. "Pas question de supprimer des emplois" Garros Services s'estime en effet lĂ©sĂ© par les conditions de l'appel dâoffres ayant abouti en juillet Ă la perte de ce marchĂ© historique, qui liait depuis une trentaine d'annĂ©es la rĂ©gie de quartier Ă l'Office public de l'habitat du Gers, et reprĂ©sentait plus de la moitiĂ© de son chiffre d'affaires environ 213 000 euros par an. Si le tribunal de Pau a rejetĂ© la requĂȘte, le conseil d'administration de Garros Services n'a donc aucunement l'intention de baisser les bras. Preuve en est, il a dĂ©cidĂ© de se pourvoir en cassation auprĂšs du Conseil d'Ătat "d'ici le 29 aoĂ»t", en insistant notamment dans son dossier sur le prix des diffĂ©rents appels d'offres, biaisĂ© selon lui par l'absence de prise en compte de la TVA. La rĂ©gie auscitaine n'est en effet pas soumise Ă cette taxe de par son statut associatif, ce qui n'est pas le cas de la sociĂ©tĂ© privĂ©e toulousaine choisie par l'OPH 32. "Il n'y aura aucun emploi supprimĂ©", promet la direction. DDM - SEBASTIEN LAPEYRERE Avec ce pourvoi en cassation, qui nĂ©cessite de fait un changement d'avocat, Garros Services espĂšre dĂ©sormais faire jurisprudence. "Ce point de TVA pourrait enfin ĂȘtre tranchĂ© pour l'ensemble des rĂ©gies de quartier", acquiesce Isabelle Labart. La rĂ©gie auscitaine pourra justement compter dans son prochain combat judiciaire sur le soutien du Mouvement des RĂ©gies, tĂȘte de rĂ©seau des 130 rĂ©gies de quartiers et de territoires. Son dĂ©lĂ©guĂ© gĂ©nĂ©ral Tarek Daher doit se rendre Ă Auch en fin de semaine, pour prendre part entre autres Ă une rĂ©union organisĂ©e par le prĂ©fet du Gers aux cĂŽtĂ©s de Garros Services, lâOPH 32, le Conseil dĂ©partemental, la Direction dĂ©partementale de lâemploi et du travail ainsi que la Mission politique de la ville. La rĂ©gie travaille par ailleurs "Ă des solutions de rechange et Ă imaginer comment maintenir de nouvelles activitĂ©s", suite Ă la fin du contrat avec l'OPH 32. "Le vĂ©ritable combat, c'est celui qu'on mĂšne sur le territoire pour prĂ©server l'emploi", insiste Isabelle Labart. Ă ce titre, la directrice de Garros Services se montre rassurante envers ses salariĂ©s "Il n'est pas question de supprimer des emplois. MĂȘme si c'Ă©tait le risque immĂ©diat aprĂšs la perte de ce marchĂ©, le travail qui est menĂ© aujourd'hui Ă la rĂ©gie, avec les diffĂ©rents services et collectivitĂ©s autour, nous conforte dans le fait qu'il n'y aura pas d'emploi supprimĂ©."
ParClĂ©ment Machetto Le 08 aoĂ»t 2017 Ă 11h31 . SociĂ©tĂ©; Faits divers; CondamnĂ©e pour avoir poussĂ© son petit ami au suicide par tĂ©lĂ©phone, Michelle Carter aurait demandĂ© Ă la famille dePubliĂ© le 24/08/2022 Ă 0510 Le tribunal correctionnel de Cahors a rendu ce mardi son jugement dans le conflit pour diffamation qui oppose une ancienne mĂ©decin du centre de santĂ© de Labastide-Murat Ă la communautĂ© de communes de Causse de Labastide-Murat gestionnaire du centre. Les faits remontent au 31 dĂ©cembre 2021. Le Docteur Ravaud soutenait que la communautĂ© de communes nâavait pas voulu renouveler son bail. De son cĂŽtĂ©, la communautĂ© de communes envoyait ce mail Ă ses usagers "Le Dr Ravaud a prĂ©cisĂ© quâelle ne renouvellerait pas son bail mĂȘme pour quelques mois en lâabsence de secrĂ©tariat mĂ©dical". Question-rĂ©ponse, le docteur se dĂ©fendait via des affichettes collĂ©es au centre de santĂ©. Lâaffichette en question disait notamment "Contrairement Ă certaines informations diffusĂ©es ici ou lĂ , le Dr Ravaud a personnellement dĂ©cidĂ© de ne pas prolonger son activitĂ© au sein de la maison de santĂ©, dont elle nâa nullement Ă©tĂ© Ă©cartĂ©e. On ne peut que dĂ©plorer cette dĂ©cision qui a un impact sur lâoffre de santĂ© du territoire. Ni le personnel ni les Ă©lus ne sont en droit de disposer des dossiers abandonnĂ©s par le docteur. Nous sommes en attente dâune dĂ©cision du Conseil de lâordre des mĂ©decins". Elle avait donc fait citer Thierry Cassan en qualitĂ© de prĂ©sident de la communautĂ© de communes devant le tribunal correctionnel. Laudience sâest tenue le 23 juin. Le tribunal aprĂšs dĂ©libĂ©rĂ©, a relaxĂ© Thierry Cassan de lâensemble des faits. DĂšs lors, le docteur Ravaud est dĂ©boutĂ©e de sa demande de dommages et intĂ©rĂȘts. Thierry Cassan est lui-mĂȘme dĂ©boutĂ© de la demande de dommages et intĂ©rĂȘts quâil avait formĂ©e en rĂ©ponse.
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La suite de "Petits meurtres et faits divers". L'intrigue du premier volet consistait Ă faire interroger par un inspecteur les suspect d'un crime ou d'un dĂ©lit. Ici, le suspect a Ă©tĂ© apprĂ©hendĂ© et est maintenant jugĂ©. Alors coupable ou non-coupable ? AprĂšs une mise en place expliquant le dĂ©lit en quelques phrases, le joueur endossant le rĂŽle de l'avocat de la dĂ©fense va faire sa plaidoirie, durant laquelle il va essayer de glisser un maximum de mots parmi ceux qui lui sont imposĂ©s. Pendant que l'avocat parle, le prĂ©sident coche secrĂštement les mots de la liste qui ont Ă©tĂ© prononcĂ©s. Le procureur peut pour sa part couper Ă tout moment la plaidoirie en faisant objection. Il fait cette action quand il pense que l'avocat vient de placer un mot de sa liste Ă celui-ci de l'induire en erreur en plaçant des mots suspects et en posant les vrais mots imposĂ©s de façon la plus dĂ©licate possible et donne le mot mis en objection. Le prĂ©sident accorde ou pas l'objection, en fonction du fait que le mot figurait ou pas dans la liste. Puis, le procureur y va Ă son tour de son plaidoyer. Tous les autres joueurs sont des jurĂ©s qui Ă©coutent ce qui se passe et qui, via l'indice figurant dans leur livret, qui leur donne deux thĂšmes englobant les mots Ă dĂ©masquer, tentent de trouver les mots des listes de l'avocat et du procureur. Ainsi, s'ils pensent que l'avocat de la dĂ©fense a placĂ© plus de mots de sa liste que le procureur, ils doivent donner l'accusĂ© innocent. Dans le cas contraire, ils le donnent pour coupable. Avocat et procureur gagnent 1pt par mot placĂ© et non objectĂ© ainsi que pour chaque mot objectĂ© Ă tort. Bien entendu, la phase de vote finale a Ă©galement son intĂ©rĂȘt. Le jeu se joue en autant de manches qu'il faut de sorte Ă ce que chacun ai eu une fois un des trois rĂŽles majeurs.
l'essentiel De retour en Top 14, le club de l'Aviron Bayonnais doit faire face Ă une affaire de violence qui vise notamment le Toulousain Antoine Battut, entraĂźneur de la touche Ă Bayonne. D'abord placĂ© en garde Ă vue puis relĂąchĂ©, il devra comparaĂźtre devant la justice le 23 fĂ©vrier 2023. Un incident nocturne s'est dĂ©roulĂ© dans la nuit de lundi Ă mardi au sein de la Clinique Aguilera situĂ©e Ă Biarritz, impliquant l'ancien joueur du Stade Toulousain Antoine Battut, entraĂźneur Ă lâAviron Bayonnais, indique le quotidien Sud-Ouest. Cyril Gomes, ancien prĂ©parateur physique du club, serait Ă©galement mĂȘlĂ© Ă cette histoire. Selon Sud-Ouest, alors qu'ils accompagnaient un ami blessĂ© aux alentours de 7h du matin, le ton serait montĂ© avec l'un des infirmiers de l'Ă©tablissement de santĂ© et les deux hommes l'auraient agressĂ©, ce dernier finissant "au sol, ensanglantĂ©". Les deux individus Ă l'origine de cette agression ont d'abord Ă©tĂ© placĂ©s en garde Ă vue puis relĂąchĂ© en fin de journĂ©e, aprĂšs que la victime a dĂ©posĂ© plainte auprĂšs de la police pour violences aggravĂ©es. Il sera entendu par la justice le 23 fĂ©vrier 2023. Antoine Battut, ancien troisiĂšme ligne nĂ© et formĂ© Ă Toulouse, a Ă©galement Ă©voluĂ© Ă Auch, Montauban, le Racing et Montpellier, avant de finir sa carriĂšre Ă l'Aviron Bayonnais. Depuis qu'il a raccrochĂ© les crampons en 2020, il est en charge de la touche au sein du club. L'Aviron Bayonnais condamne les faits "LâAviron Bayonnais Rugby Pro a appris quâun membre du staff sportif est impliquĂ© dans un incident survenu dans la nuit de lundi Ă mardi. Le club tient Ă prĂ©ciser que cet Ă©vĂ©nement sâest dĂ©roulĂ© dans une pĂ©riode de congĂ©s. La Direction du club, qui recevra au plus vite le salariĂ© concernĂ©, condamne fermement ces faits qui se sont dĂ©roulĂ©s dans un contexte privĂ©. Soucieux de laisser la justice effectuer son travail, le club ne fera aucun commentaire supplĂ©mentaire et prendra toutes les dispositions qui sâimposent", a indiquĂ© le club dans un communiquĂ© publiĂ© ce mercredi.V112.